top of page

Mon podium des compléments alimentaires – Numéro 1 : Magnésium

  • Véronique Gillas
  • 9 oct. 2024
  • 1 min de lecture
Le magnésium, un indispensable
Pourquoi du magnésium en complément ?



Quasiment tout le monde en manque !! Pourquoi ?


  • Parce que notre alimentation souvent déficitaire en végétaux ne permet pas de fournir quotidiennement les 6 mg par kilo de poids recommandés par l’OMS

  • Parce que même si on optimise les apports alimentaires, il faudrait presque manger pour deux pour avoir un tel apport

  • Parce que le stress augmente son excrétion dans les urines (et qui n’est pas sujet au stress ?)

  • Parce qu’une majorité de gens a des soucis digestifs et souffre de malabsorption intestinale

  • Parce que certains médicaments, comme notamment les IPP qui sont largement prescrits, inhibent son absorption

  • ….


Et pourtant, c’est un minéral à ne pas négliger qui intervient dans plus de 400 réactions biochimiques, et en premier la production d’énergie et la sauvegarde de cette énergie par la modulation du stress. A l’heure où de nombreuses personnes se plaignent d’être fatiguées, nul doute qu’une augmentation des apports sous forme alimentaire (notamment avec les légumes à feuilles vertes, les oléagineux et les légumineuses) ou sous forme de complément pourrait être bénéfique.

Je reviendrai ultérieurement plus en détail sur cet élément. Dans l’intervalle, si vous décidez de prendre un complément de magnésium, regardez la teneur en magnésium élément pour comparer, et prenez conseil auprès de votre pharmacien. Les contre-indications sont peu nombreuses, mais pas inexistantes.

Comme toujours, la supplémentation n'est pas destinée à compenser le manque de diversité alimentaire. Je vous incite donc à commencer par améliorer votre assiette !!!

C’est avec plaisir que je vous partage ces informations. Merci de mentionner la source si vous partagez à votre tour tout ou partie de mes articles.


Comentarios


  • Facebook
  • Twitter
  • Instagram
  • Pinterest
  • YouTube

© 2014-2023 par Véronique Gillas

bottom of page